Je m’attends à l’enceinte de la porte.
Le sourire large d’espoir,
les mots convaincants.
Le souffle me manque à nouveau.
Je perds l’équilibre
et je bascule dans la noirceur de mon corps.
Les êtres y volent,
s’amusent à trouver un appât,
pour cette fille, fille.
La nuit tombe
je me régale
de la lourdeur de l’ombre.
Je me livre au ciel,
à ce rayon qui me porte vers moi,
porteuse d’espoir d’être comme avant, UN.
Je tire la fleur de soie hors de ton corps.
Je te la présente
mais tu ne la vois guère.
Elle t’apparaît… invisible.
Je monte vers la mer,
mon amie,
cette eau.
La fleur y est,
tranquille, aimante,
désireuse d’embrasser le moment.
J’arrive au bord
je plonge.
Une sensation d’appartenance!
La terre sous mon être
vibre de douleur.
Je ressens la souffrance,
ta souffrance, Gaïa...
Sunday, May 20, 2007
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