Je regarde
Le poids de mes yeux
Le vent prend la charge
Et je prends ma place
Les choses sont lourdes
Les concepts trop pleins
Mon oeil se ferme
Je garde ma place
Effrité
Qu’est-ce qui pousse
Dans mon for intérieur
Une glace étouffée
Et ton regard trop lourd
Ses feuilles s’étirent
Prennent leur place
Se fondent au travers des cellules
Qui couvrent les parois de mon corps
Le vent disparaît
Il surgit sur l’iris
Se propulse vers l’extérieur
Tu le vois, enfin
Saturday, April 14, 2007
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