Un cri
que personne ne perçoit
Il coule
se perd
Il traverse l’air
déborde de mes lèvres
Envahit ton âme
et s’égare dans tes entrailles
Une toile
Un son
Personne ne comprend
Je le vois
Il est complet
fort
bruyant
indicible
C’est la solitude de l’errance
la nécessité du maintenant
Le seul endroit véritable
l’espace parfait
Quitter la terre-mère
Tuesday, February 20, 2007
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